Les classes de 1AGORA1 et 1 CAP ont emprunté le 31/04 le sentier pédagogique de la réserve et nos camarades ont pu répondre aux questions que nous avions préparées lors d’une précédente visite.

Ils ont appris à repérer les points cardinaux, les noms des principales montagnes qui entourent le site et le nom des rivières qui traversent la réserve.

Sur la trace des animaux

Cette zone est capitale car c’est un refuge pour les oiseaux et leurs nids, les roseaux les protègent des prédateurs. Du haut de la tour Beauvivier (vestige de moyen-Age),  on a pu observer des grands cormorans posés sur des pieux en bois dans le lac et des foulques macroules qui nageaient sur le lac au niveau de l’embarcadère. On a juste pu écouter le chant des oiseaux des roselières (Bruant des roseaux, Rousserolle)  lors de la traversée des forêts humides. On a pu apercevoir la présence des castors avec leur « terrier hutte »  sur la rivière « Eau Morte » (cours d’eau très calme), et également la trace de sangliers qui ont retourné la terre pour trouver de la nourriture.

Le rôle des roselières

Il y a deux types de roselières : celle qui a les pieds dans l’eau et celle qui est « terrestre ».

Cette zone humide est comme une éponge qui absorbe l’eau de pluie et qui la restitue progressivement  lors des moments de sécheresse. Ces roselières fixent aussi les sédiments et limitent l’érosion des berges. Ce  sont aussi des pièges pour les déchets flottants que nous irons récolter au mois de mai en kayak avec l’association ASTERS (Agir pour la Sauvegarde des Territoires des Espèces Rares ou Sensibles).

Visite organisée par Amar et Choukri, 1AGORA1

Merci à  la région Auvergne Rhône Alpes d’avoir financé  le bus pour notre transport.